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Musée d’Orsay

Les Romains de la décadence est une peinture réalisée en 1847 par le peintre Thomas Couture.

 

Thomas Couture (1815-1879)
Romains de la décadence
1847
Huile sur toile
H. 472 ; L. 772 cm

 

Trois années furent nécessaires à Thomas Couture pour achever les Romains de la décadence dont les dimensions attestent de la haute ambition artistique. Il voulait que son tableau suscite le renouveau de la peinture française et se réfère pour cela, sans grande originalité, aux maîtres de la Grèce antique, de la Renaissance et de l’école flamande.

Les Romains de la décadence pierre noire sanguine et crayon blanc
Les Romains de la décadence pierre noire et crayon blanc
Les Romains de la décadence pierre noire sanguine et crayon blanc
Les Romains de la décadence pierre noire sanguine et crayon blanc
Les Romains de la décadence sépia et crayon blanc
Les Romains de la décadence pierre noire sanguine et crayon blanc

Auguste Clésinger (1814-1883)
Femme piquée par un serpent
1847
Statue en marbre
H. 56,5 ; L. 180 ; P. 70 cm

Ce marbre fut, avec les Romains de la décadence de Thomas Couture, l’oeuvre la plus commentée du Salon de 1847, faisant l’objet d’un double scandale, artistique et mondain. Pour cette image suggestive d’une femme nue se tordant sous la piqûre d’un serpent symbolique enroulé autour de son poignet, Clésinger, comme en témoigne la cellulite du haut des cuisses et retranscrite dans le marbre, avait utilisé un moulage sur nature du corps d’une demi-mondaine, Apollonie Sabatier (1822-1890). Muse de Baudelaire, beauté parisienne tenant un salon, celle que ses amis appelaient « la Présidente » offrit ainsi un succès inespéré à Clésinger.

Femme au serpent pierre noire et crayon blanc
Femme au serpent 2 pierre noire et crayon blanc
Femme au serpent 3 pierre noire et crayon blanc

Jean-Baptiste Carpeaux (1827-1875)
Ugolin
1862
Bronze fondu par Victor Thiébaut
H. 194 ; L. 148 ; P. 119 cm

Carpeaux s’inspire du chant XXXIII de la Divine Comédie de Dante, qui relate la rencontre aux Enfers de l’écrivain, conduit par Virgile, avec Ugolino della Gherardesca. Le comte interrogé, raconte le châtiment qu’il a subi.

Ugolin pierre noire et crayon blanc
Ugolin 2 pierre noire et crayon blanc
Ugolin 3 pierre noire et crayon blanc
Ugolin 4 pierre noire et crayon blanc
Ugolin 5 pierre noire et crayon blanc
Ugolin 6 pierre noire et crayon blanc

Schoenewerk (1820-1885)

Jeune Tarentine

1871Statue en marbreH. 74 ; L. 171 ; P. 68 cm

Paris, musée d’Orsay

La Jeune Tarentine 2 pierre noire et crayon blanc
La Jeune Tarentine pierre noire et crayon blanc
La Jeune Tarentine pierre noire et crayon blanc
La Jeune Tarentine 4 pierre noire et crayon blanc
La Jeune Tarentine sépia et crayon blanc
La Jeune Tarentine pierre noire et crayon blanc

Jean-Joseph Perraud

Le Désespoir 

en 1869 statue en marbre H. 1.08 ; L. 0.68 ; P. 1.18

musée d’Orsay, Paris, France

Le Désespoir pierre noire et crayon blanc
Le Désespoir 2 pierre noire et crayon blanc
Le Désespoir 3 pierre noire et crayon blanc
Le Désespoir pierre noire et crayon blanc
Le Désespoir 6 pierre noire et crayon blanc
Le Désespoir 5 pierre noire et crayon blanc

Paul Cabet, Daumas

Mil huit cent soixante et onze

entre 1872 et 1877statue en marbreH. 1.25 ; L. 0.66 ; P. 1.01

musée d’Orsay, Paris, France

Mil huit cent soixante et onze 5 pierre noire et crayon blanc
Mil huit cent soixante et onze pierre noire et crayon blanc
Mil huit cent soixante et onze 6 pierre noire et crayon blanc

Charles Degeorge
Jeunesse d’Aristote
vers 1875
statue en marbre
H. 1.22 ; L. 0.82 ; P. 0.89
musée d’Orsay, Paris, France

Jeunesse d'Aristote pierre noire et crayon blanc
Jeunesse d'Aristote 2 pierre noire et crayon blanc
Jeunesse d'Aristote 3 pierre noire et crayon blanc

Eve après le péché : pierre noire et crayon blanc

Eugène Delaplanche

en 1869

Eve à la pomme : pierre noire et crayon blanc
Eve à la pomme : pierre noire et crayon blanc

© Design : Studiomerci

Réalisation : harry@boubok.com

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